ce qui devait arriver arriva; j'ai perdu le texte des derniers jours dans une fausse manoeuvre sur le purée d'Iphone.
D'ou bref résumé : le jeudi à midi, nous mouillons à Ormos Fanari, sur la côte Grecque. forme sur la carte évocatrice d'une petite baie bien protégée. C'est le cas. Ouverte cependant à l'Ouest . Ca doit pas être terrible par vent d'Est costaud. Fond de sable. Plage à parasols. Bordée d'une rivière que nous partons explorer en annexe. Endroit étonnant. Passés les remous de l'entrée, navigation dans un courant assez important. Camping cars et taverna la bordent. Eau froide et douce. Et , encore plus étonnant, une douzaine de bateaux , quillards de 8 à 12 m , amarrés là. Abri total. Allemands pour la plupart. Certains complètement hivernés.
Départ en fin d'après midi pour Parga, contre un bon vent de NW qui lève une mer hachée. Mouillage devant la petite plage sud. 5 m d'eau; bonne tenue; bon abri sauf par vent de sud ouest. Décor magnifique au milieu de rochers surmontés de petites chapelles blanches.
Village accroché à la falaise, malheureusement trop touristique. Montée au Fort indispensable pour y retrouver la vue et le calme.
Vendredi 15 juillet
Dernier jour de navigation.
Partis de bonne heure donc vent nul. 25 milles plein nord pour atteindre la frontière entre Grece et Albanie. Nous mouillons devant la côte Albanaise. Un bunker tous les cents metres. Vestiges de la guerre froide. Faune riche qui fera le plaisir des petits et des grands.
Puis 7 mille plein ouest pour rejoindre Gouvia Marina.
Une dernière bonne adresse conseillée par le sympathique Thanassis : le restaurant Italien Sole Mio , à quelques pas.
Fin de notre navigation Ionienne. Nous esperons ne pas avoir à attendre dix ans, comme ce pauvre Ulysse, pour revoir Ithaque.
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